De le servitude volontaire – Etienne De La Boétie
Deuxième partie:
« Or ce tyran seul, il n’est pas besoin de le combattre, ni de l’abattre. Il est défait de lui-même pourvu que le pays ne consente point à sa servitude. Il ne s’agit pas de lui ôter quelque chose, mais de ne rien lui donner. » La Boétie
Troisième partie:
« Ce maître n’a pourtant que deux yeux, deux mains, un corps, et rien de plus que n’a le dernier des habitants du nombre infini de nos villes. Ce qu’il a de plus, ce sont les moyens que vous lui fournissez pour vous détruire. » La Boétie
Quatrième partie:
« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. » La Boétie
Cinquième partie: